En cas d’urgence (Garde à vue), Maître Auzou est disponible 24h / 24 au : 06 58 82 14 97
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Le Cabinet intervient dans la défense pénale, que ce soit pour le compte des personnes mises en cause ou pour les parties civiles.
Le Cabinet accompagne les personnes détenues et/ou libres au stade de l’exécution de leur peine.
Le Cabinet a développé une expertise de premier plan dans le domaine de l’industrie musicale.
Inscrit au barreau de Paris, le cabinet de Maître Auzou intervient principalement dans le domaine du droit pénal, dans le domaine de la réparation de préjudice corporel ainsi que en droit des contrats notamment pour les contrats d'artistes.
Le cabinet de Maître Auzou travaille également en partenariat avec de nombreux cabinets spécialisés permettant ainsi de conseiller les clients dans les autres domaines du droit pour lesquels Maître Auzou n’intervient pas.
Dans ce cas, Maître Auzou restera à vos côtés pour traiter votre dossier en partenariat avec un cabinet spécialisé.
Très disponible, Maître Auzou a pour politique d’être joignable a tout moment afin d’intervenir le plus rapidement possible, notamment lorsque la situation est urgente.
En cas d’urgence (Garde à vue), Maître Auzou est disponible 24h / 24 au : 06 58 82 14 97.
Le cabinet de Me Auzou poste régulièrement des billets sur l'actualité juridique et judiciaire.
Voir tous les articlesLa crise sanitaire que nous vivons actuellement a eu de nombreux impacts sur notre économie, notre démographie et notre société en général. Dans un souci d’adaptation à la situation, plusieurs secteurs du pays ont été temporairement réformés. C’est notamment le cas de notre procédure pénale.
À un certain stade de la procédure, la détention provisoire doit nécessairement être motivée par les nécessités de l’instruction. C’est ce que prévoit l’article 145-3 du Code de procédure pénale. Ce texte concerne les détentions provisoires dont la durée dépasse 1 an en matière criminelle ou 8 mois en matière délictuelle.
Il existe une pratique discutable chez les « parquetiers » consistant à ouvrir une instruction criminelle, tout en sachant, dès le stade de la rédaction de leur réquisitoire introductif, que les faits seront correctionnalisés à terme, c’est-à-dire à la fin de l’instruction.